Je vis toujours chez mes parents, mais j’économise pour m’acheter une maison, ce qui va bientôt se faire car je bosse chez infrabel, la société sous-traitante de la SNCB qui s’occupe de la maintenance des infrastructures, voies, aiguillages, signalisation etc….Et j’ai des perspectives d’évolution.
Quelques mois après avoir terminé l’école j’ai passé les examens d’entrée à la SNCB ; le questionnaire correspondait furieusement aux matières que nous avions reçues pendant nos deux années de formation. Mais à l’époque j’ai fait un peu trop l’impasse sur certaines matières, je disais : « ça sert à rien les calculs ! » J’ai bien dû constater en voyant les questionnaires de la SNCB qu’il y en avait, et pas qu’un peu !
Des débouchés dans la maintenance mécanique, croyez-moi qu’il y en a ! J’ai mis un an avant de rentrer à la SNCB, mais entre-temps, je n’ai pas eu l’occasion de chômer, dans des petites boites de construction métallique, de maintenance industrielle….

Je travaille chez SCA à Stembert, au service de maintenance mécanique.
C’est une bonne boite, et si on montre qu’on en veut et qu’on s’investit dans son travail, on nous propose des possibilités d’évolution.
Je retrouve beaucoup de choses chez SCA que j’ai apprises aux cours théoriques et pratiques à l’Athénée de Pepinster. Par exemple, les roulements, les réducteurs, les transmissions, le soudage, l’usinage, la pneumatique, l’hydraulique,…. Et aussi au niveau sécurité et social, ces deux derniers points sont peut-être les plus important
Chez SCA, je vais essayer d’évoluer dans l’entreprise ; là, je vais avoir fini mon cdd d’essais et je vais signer mon cdi.